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FPT 2023 : Pourquoi suivre une préparation aux concours ou examens professionnels ?

juin 2023

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Vous envisagez de passer un concours ou un examen professionnel de la fonction publique territoriale (FPT) ? Quel(le) que soit la catégorie (A,B,C), le cadre d’emplois (attaché, technicien, ATCPB,…) ou la filière visée, se lancer dans un concours est un challenge de haut niveau. Si vous voulez vous donner sans attendre les moyens de réussir, la préparation est là pour vous accompagner. Tour d’horizon des 10 principales raisons citées par les lauréats ayant pris cette modalité.

1. Vous vous sentez hyper motivé ! 

Préparer un concours (externe, interne, 3e voie) ou un examen professionnel de la fonction publique territoriale relève d’une démarche réfléchie. Vous visez à décrocher un poste qui va vous faire entrer dans la Territoriale ou vous permettre d’accéder à une fonction supérieure. C’est un enjeu par rapport à vous, votre entourage. C’est un investissement en temps, beaucoup de travail, parfois du stress et de la fatigue. 

Vous en avez conscience et vous vous sentez prêt à vous investir à 100%. Plusieurs méthodologies s’offrent à vous : vous préparer seul grâce aux annales et aux manuels de préparation, soit solliciter le soutien d'un organisme de préparation, avec des entraînements à la maison, soit encore, par le biais d’une formation / un stage « présentiel(le) ».

Le premier scénario, chez vous, avec des ouvrages, convient en général, en cas de recalage au concours l’année précédente, ou pour présenter un concours de catégorie C lorsque les années scolaires ne sont pas trop loin car les programmes des épreuves sont suffisamment proches, ou si vous possédez le bon bagage universitaire (ex. IEP ou master pro d’administration des collectivités territoriales pour les concours d’attaché territorial, etc.), ou encore, en cas d’obligations professionnelles ou même, de poursuites d’études en parallèle. Mais dans tous les cas, se préparer seul suppose d’être capable de gérer son temps et de travailler à la maison, sans aucun cadre, ni contrôle.

En choisissant le scénario de la préparation, il vous faudra bien sûr choisir avec attention votre structure mais à la clé, vous bénéficierez d’entrainements rythmés, cadencés dans le temps et d’un accompagnement plus intensif. De quoi être assuré d’aller jusqu'au bout et de soutenir votre dynamisme au quotidien.   

2. Vous avez besoin d'organisation et de rigueur

Pour être prêt le jour des épreuves et ne pas vivre l’angoisse de la page blanche, il faut faire la liste (et donc faire des choix) de tout qu’il y a à réviser et se tenir aux plannings de révisions / préparation.

Autrement dit, pour réussir un concours ou un examen professionnel de la fonction publique territoriale, il faut avant tout être capable d’organiser son temps en fonction du résultat escompté. 

Concrètement, cela signifie : découper les révisions en objectifs, avoir un calendrier et se noter la ou les soirées réservées aux révisions, voire des week-ends entiers à l’approche des épreuves…

Côté révisions, en fonction du programme fourni, il faudra lire les ouvrages appropriés (ex. Connaissances des institutions) et construire des fiches. Aucune impasse n’est possible au risque de tomber sur un sujet non connu et au bout, d’avoir une note éliminatoire.

Vous l’avez donc compris, la charge de travail pour arriver paré le jour des épreuves d’admission ou d’admissibilité est parfois très importante. Aussi, si vous n'êtes pas un pro de l'organisation, une préparation en solo risque d'être difficile à suivre.... 

Même si depuis quelques années, la sélectivité des concours territoriaux (5,8 candidats pour un lauréat, hors concours de la ville de Paris) a baissé, certains concours et examens conservent la réputation d’être difficiles (ex. concours de catégorie C : atsem, catégorie A : administrateur territorial, ingénieur ; examens professionnels d’attaché principal,…). Dans ce cas, suivre une préparation sera une aide d’autant plus efficace. Cela vous permettra de travailler votre rigueur et persévérance, qualités qui vous serviront au quotidien par la suite dans votre travail auprès des élus (ex. maires, présidents de conseil départemental, régional, intercommunal, conseillers territoriaux…), des agents et des habitants…

3. Vous souhaitez avoir un cadre sécurisant 

Certains concours et examens n’ont pas de programme précis. Un point qui peut dérouter les candidats, qui ne savent pas véritablement ce qui est exigé d’eux. 

Par ailleurs, la maîtrise parfaite des techniques d’expression orale, l’esprit de synthèse, le sens de l’analyse de documents sont indispensables pour réussir les concours et examens professionnels (EP) de la Territoriale.

Dès lors, en recourant à un organisme de préparation à distance (ex. Carrières Publiques), le CNED (centre national d’enseignement à distance), la Documentation française, vous recevrez une présentation du concours ou de l’EP préparé, une méthodologie mais aussi… des cours mis à jour.

4. Vous voulez réviser des cours préparés et mis à jour 

En effet, en recourant à une préparation, vous bénéficierez des derniers textes réglementaires, l’actualité territoriale récente. 

Un avantage véritable qui permet là encore, un gain de temps non négligeable et un gage de sérieux.

5. Vous êtes prêt à avoir des devoirs… 

Bien sûr, avoir les dernières connaissances juridiques, l’actualité sur les collectivités territoriales est un atout indéniable mais pour réussir à rendre une bonne copie, il faut s’entraîner.

Pour vous aider à faire (et refaire) des exercices, les annales constituent une bonne base lorsqu’elles comportent des indications de corrections. Les organisateurs des concours et examens professionnels territoriaux (CDG/CIG) publient souvent sur leur site Internet les sujets les plus récents et complets (avec les dossiers pour la note par exemple) mais tous ne publient pas les indications de corrections mises à disposition des correcteurs, il faut donc parfois se rapprocher des organisateurs.

En complétant ces publications par les travaux corrigés proposés lors de préparation vous gagnerez en efficacité le jour J. 

6…Avec des corrections personnalisées

Votre correcteur sera là pour vous rappeler qu’une bonne copie commence par un devoir où l’orthographe et la présentation sont soignées. L’accumulation de fautes de cette nature, quelle que soit la discipline concernée, ne peut qu’indisposer les correcteurs.

Ensuite, la méthodologie et votre tuteur sauront vous guider pour vous aider à traiter le sujet, structurer les réponses, veiller à la forme rédactionnelle et maîtriser le vocabulaire spécifique, apporter un contenu de qualité, établir un plan équilibré avec un développement en deux ou trois parties – subdivisées en sous-parties...

7. …En nombre suffisant pour vous mettre dans les conditions du concours 

La persévérance et l’entraînement régulier font progresser rapidement. Un bon entraînement doit se faire de façon à être mis en situation : sur un temps illimité puis en fonction de la durée de l’épreuve. C’est la seule façon d’évaluer son niveau et de déterminer les points à améliorer.

Une bonne préparation vous proposera souvent 3 ou 4 devoirs pour vous aider à vous améliorer et vous permettre de rentrer progressivement dans les conditions réelles du concours.

8. Vous recherchez un suivi régulier tout au long de votre préparation 

Les préparations qu’elles soient à distance ou « en présentiel » dispensées selon les concours, par les instituts de préparation à l’administration générale (IPAG) ou les CPAG peuvent aussi s'avérer d'une grande aide car elles permettent de découvrir les épreuves avec des correcteurs professionnels, des professeurs, d'être régulier et suivi, tout au long de sa préparation.

S’il y a un thème ou une matière (ex. finances publiques, droit public,…) où vous savez que vous êtes très mauvais (ou que vous détestez), vous allez devoir vous forcer à le/la travailler.

Allez, courage ! Le plus dur, c’est de s’y mettre.

9. Vous voulez pouvoir poser vos questions 

Pour les concours de catégorie A ou B, préparer un concours via un organisme de qualité est plus que raisonnable. C’est la meilleure option pour s’assurer d’un soutien pédagogique renforcé, d’un accompagnement particulier.

Vouloir être autonome est louable, mais pouvoir se faire rassurer sur ses connaissances, un point de méthodologie auprès de correcteurs connaissant par cœur les attentes du jury est une excellente raison pour choisir de suivre une préparation.  

Autre avantage, s’il reste un doute sur quoi que ce soit ? Vous pourrez poser vos questions sur les réseaux sociaux, sur les forums des sites Internet dédiés mis à disposition par l’organisme mais aussi auprès d’autres candidats … afin de lever toutes incertitudes anxiogènes et contreproductives.

10. C’est l’occasion pour vous d’utiliser votre compte personnel de formation (CPF)

Enfin, préparer un concours ou un examen professionnel de la fonction publique territoriale via un organisme est un bon moyen d’utiliser vos droits à formation acquis sur votre compte personnel de formation (CPF).

Utilisable par tout agent ou salarié, tout au long de sa vie active, y compris en période de chômage, ces heures permettent de suivre une formation qualifiante ou certifiante. Selon le secteur public ou privé, les dispositions relatives au CPF varient. Pour les agents publics, le champ des formations est plus large mais l’accord de l’employeur doit être obtenu.

Pour plus d’informations personnalisées (droits, formations admises), il faut vous rendre sur l’espace numérique dédié : www.moncompteformation.gouv.fr , géré depuis l’été 2018, par la Caisse des Dépôts à l’attention de tous les actifs.

Bonne préparation !

Retrouvez toutes les préparations aux concours de la fonction publique de Carrières Publiques en cliquant ici.

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